PLAIDOYER POUR UN SOFT
par André Pascual
A  r  t  i  c  l  e  s 





I ntroduction
Partie 1
Partie 2
Partie 3
Partie 4
Partie 5
Partie 6
Partie 7
Partie 8
Partie 9
Conclusion
Retour Index

3 L'interface

L'interface regroupe toutes les commandes et toutes les informations autour de l'espace de travail occupé par l'image en cours d'édition. A gauche, la boîte à outils; au sommet, la barre d'outils contextuels; à droite, "l'établi" bien ordonné, comme dans Moonlight, avec des onglets verticaux permettant de faire passer au premier plan la palette voulue; enfin, en bas, la ligne d'état.
Un long et houleux débat a eu lieu sur le forum de Linuxgraphic à propos de la convivialité de ce type d'interface comparé à celui de Gimp. Il semblerait que la subjectivité ait été de rigueur, ce qui est normal: le meilleur outil est celui que l'on tient bien en main. Pour ma part, je préfère infiniment l'interface de
PhotoPaint à la joyeuse anarchie de Gimp, où les fenêtres n'en finissent pas de s'escalader pour se recouvrir à qui mieux mieux. La bohême, c'est beau dans une chanson d'Aznavour; c'est moins pratique dans l'espace de travail limité d'un écran d'ordinateur.
Quoi qu'il en soit,
PhotoPaint n'est pas rigide. L'interface est modulable et chacun peut la définir à son goût, puis la sauvegarder afin de la retrouver à l'ouverture des prochaines sessions. Il y a même par défaut une interface style PhotoShop pour celui qui a acquis des automatismes tels qu'il ne puisse s'en passer. A lui alors les palettes flottantes si peu agréables (provocation!).